Rezept: Affogato – Wenn Vanille-Gelato auf Espresso trifft


Affogato fait partie de ces desserts tellement simples qu’on se demande comment ça peut être aussi bon. Une boule de glace vanille italienne, un shot d’espresso bien chaud. C’est tout. Mais quand ça se mélange, c’est magique. C’est l’un de mes desserts italiens préférés, et même quand je n’ai plus faim, j’ai toujours de la place pour un affogato.

Le mot affogato signifie “noyé” en italien, en référence à la boule de glace qui fond dans le café chaud qu’on verse juste avant de servir. On le trouve souvent à la carte des cafés et restos italiens – parfois classé en dessert, parfois comme boisson. Ce qui est logique, parce que c’est un peu les deux.

Un bon affogato, c’est une question d’équilibre. Il faut un espresso bien corsé et une glace onctueuse avec un vrai goût de vanille. Et bien sûr, la qualité fait toute la différence.

En Italie, on le sert généralement dans un petit verre ou une tasse, avec une cuillère à café à côté. Certains établissements proposent le café à part pour que tu puisses verser toi-même. Au début, on mange à la cuillère, mais une fois que la glace commence à fondre et se mélange au café au fond du verre, beaucoup finissent par le boire directement.

Envie de faire un affogato à la maison ?
Il suffit d’une bonne boule de glace vanille (gelato ou glace classique) et d’un shot d’espresso bien chaud. Si tu n’as pas de machine à espresso, un petit café fort peut faire l’affaire. Assure-toi juste qu’il soit chaud et intense, et que la glace soit encore bien froide. Ce ne sera peut-être pas tout à fait comme en terrasse à Rome, mais assez proche pour s’y croire un instant.

Recette : Affogato – Quand la glace vanille rencontre l’espresso

Recette de Mitzie Mee – SannePlat : Dessert, Rezepte
Portionen

1

Glas

Ingrédients

  • 1 boule de glace vanille de bonne qualité

  • 1 espresso ou un petit café bien corsé

Préparation

  • Dépose la glace dans un petit verre ou une tasse.
  • Verse l’espresso chaud par-dessus juste avant de servir.
    À déguster tout de suite.
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New York: Le Petit Village – Französisches Restaurant im West Village
Transparence : J’ai été invitée à dîner chez Le Petit Village, mais comme toujours, ce post reflète mon expérience personnelle et mon avis sincère.

Le Petit Village est un petit restaurant français plein de charme, niché dans un vieux bâtiment du West Village. Il y a des tables à l’extérieur, parfaites pour un soir d’été, mais le jour où Steve et moi y sommes allés, il faisait tellement chaud qu’on a vite préféré s’installer à l’intérieur. Et franchement, tant mieux. L’intérieur a ce côté bistrot classique, calme et élégant, qui donne envie de commander une bouteille de vin et d’y passer la soirée.

La carte propose tous les grands classiques français comme la soupe à l’oignon et les moules marinières, mais aussi quelques plats plus modernes et créatifs. On a commencé par la soupe à l’oignon – l’un de mes plats réconfortants préférés. À Paris, j’en ai mangé quasiment tous les jours ce printemps, et celle de Le Petit Village était vraiment à la hauteur. Pleine d’oignons doux et caramélisés, avec un bouillon riche et savoureux. On a terminé le bol jusqu’à la dernière goutte.

Ensuite, on a pris la salade de betteraves, joliment dressée avec des légumes racines colorés sur une base de fromage de chèvre fouetté. Aussi fraîche que belle, avec juste ce qu’il faut d’acidité pour équilibrer le tout.

On a aussi goûté le tartare de bœuf Wagyu, qui s’est révélé être un des coups de cœur de la soirée. Je suis une grande fan de tartare, et celui-ci était parfait. Pas de cornichons, pas de câpres, pas de moutarde. Juste une viande de qualité, un jaune d’œuf de caille et une pincée de sel et de poivre. La viande était tellement tendre et parfumée qu’elle se suffisait à elle-même. On a adoré.

Pour le plat principal, on a choisi les pappardelle à la sauce aux champignons. Je redécouvre toujours à quel point les champignons peuvent être riches et umami quand je mange un plat comme celui-là. Les pâtes étaient généreuses et réconfortantes sans être lourdes, et la sauce avait cette profondeur de goût qui donne envie de saucer l’assiette.

On avait prévu de partager un camembert rôti ou une crème brûlée en dessert, mais on était bien trop rassasiés. Alors à la place, on a marché un peu dans les rues du Village en se disant à quel point tout avait été délicieux. Je sais déjà que j’y retournerai – et la prochaine fois, je garde de la place pour le dessert.

Le Petit Village, 173 7th Ave S, New York, NY 10014, United States

Le Petit Village

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SAS: Upgrade – Guten Morgen aus Sitz 2F

Mon vol au départ de Stavanger était à 6h25 et comme j’avais un bagage en soute je devais être à l’aéroport au moins une heure avant. Le petit déjeuner de l’hôtel n’ouvrait qu’à 5h donc juste le temps pour un œuf à la coque et un mini smoothie avant de filer

J’avais misé sur un petit déjeuner dans le lounge mais j’avais complètement zappé que le salon SAS à Stavanger est réservé aux vols internationaux. Or je ne faisais que voler jusqu’à Oslo. Pas de lounge pas de croissant et pas de café en rab pour moi ce matin là ou du moins c’est ce que je pensais.

Et puis surprise j’ai été surclassée. Et cerise sur le gâteau on nous a servi une petite box petit dej à bord. Rien de fou mais pile ce qu’il me fallait un sandwich salami brie un yaourt avec du granola et encore un petit smoothie.

Donc même si la journée a commencé bien trop tôt et avec un petit coup de faim mauvaise humeur elle a finalement très bien démarré pour le jour en question et pour le voyage en général.

Je sais que certains se demandent comment décrocher un surclassement. On entend tout et n’importe quoi s’habiller chic tenter un petit clin d’œil à l’agent d’embarquement mais d’après mon expérience tout repose sur une seule chose le statut de fidélité.

Je suis KLM Gold depuis un peu plus d’un an et maintenant que SAS a rejoint SkyTeam mes points fidélité chez KLM comptent aussi pour les upgrades SAS. Et ça ça change tout.

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Seattle: Inside Passage – Großartige Cocktails


Quand Steve et moi étions à Seattle, on a retrouvé Sylvan (un vieux pote suédois) et sa copine pour boire un verre à Inside Passage, un tout petit bar caché à l’intérieur d’un autre bar, Rumba. Le nom, Inside Passage, fait référence à la célèbre voie maritime entre Washington et l’Alaska, qui serpente entre des îles et des criques aux reflets bleu glacier. Plutôt bien trouvé, car une fois à l’intérieur, on a l’impression d’entrer dans un monde sous-marin un peu surréaliste. Il y a une énorme pieuvre accrochée au plafond, et l’ambiance est sombre, intime et délicieusement étrange.
Le bar n’est pas très grand, et avoir une table peut relever du défi, surtout le week-end. Heureusement, Sylvan avait eu la bonne idée de réserver. On pensait juste prendre un verre, mais la carte était bien trop tentante, donc un s’est vite transformé en deux… puis trois, pour certains d’entre nous.
Les cocktails tournent autour de 22 dollars, et ils les valent largement. L’un était servi dans un faux colis Amazon, un autre dans un mini cuiseur à riz, et entre la glace carbonique et les LED, le thème était clair. Inside Passage est devenu un repère d’influenceurs (l’ambiance pieuvre sous-marine, ça aide), mais on y croise aussi de vrais amateurs de cocktails – et c’est mérité. Derrière le show, les boissons tiennent vraiment la route. Un super spot pour boire un cocktail à Seattle.

Inside Passage, 1108 Pike St, Seattle, WA 98101, United States

Inside Passage

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Street Food in Thailand: Khanom Krok – Kleine Kokospfannkuchen

Les Khanom Krok sont de petites crêpes thaïlandaises à la noix de coco, croustillantes sur les bords et fondantes au centre. Elles sont cuites dans des poêles en fonte avec des empreintes rondes, un peu comme nos poêles à æbleskiver danoises, et elles font partie intégrante de la street food thaïlandaise. On les trouve sur les marchés et les stands de rue dès le petit matin, mais même si elles sont traditionnellement servies au petit-déjeuner, on en voit toute la journée, y compris sur les marchés de nuit. Ces petites bouchées sont parfaites à tout moment.

On commence par verser une pâte fine à base de farine de riz, lait de coco et une pincée de sel dans la poêle chaude. Une fois la pâte légèrement prise, on ajoute une deuxième couche : une crème sucrée à la noix de coco faite de lait de coco concentré et de sucre. C’est la combinaison de ces deux couches qui donne aux Khanom Krok leur texture si particulière : croustillante à l’extérieur, moelleuse et crémeuse à l’intérieur.

Les garnitures varient : on trouve des versions sucrées avec du maïs, du pandan ou de la noix de coco râpée, et des versions salées avec de la ciboule, du taro en dés ou des graines de sésame.

Une fois cuites, les petites crêpes sont souvent assemblées par deux, façon petits oreillers à la noix de coco. Elles sont meilleures quand elles sont encore chaudes, avec le cœur bien fondant.

Même si les Khanom Krok sont très ancrées dans la culture culinaire thaïlandaise, elles ont des cousines dans d’autres pays d’Asie. Au Cambodge, on les appelle nom krok, au Vietnam c’est bánh khọt, et en Indonésie, serabi. Même le takoyaki japonais, farci au poulpe, peut être vu comme un cousin technique, même si la pâte est totalement différente.

Aux États-Unis, très peu de gens connaissent les Khanom Krok, car ils ne figurent presque jamais sur les menus des restaurants thaïlandais. Mais si un jour tu es en Thaïlande et que tu tombes sur un stand qui en vend, n’hésite pas une seconde. Tu ne le regretteras pas.

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Ein Abend in Farsund – Jakobsmuscheln und Weißwein

Neulich haben AC und Kristian mich zum Abendessen eingeladen – es gab Jakobsmuscheln und Weißwein. Die beiden wohnen direkt am Fjord, also hat Kristian einfach den Neoprenanzug übergeworfen und die Jakobsmuscheln frisch aus dem Wasser geholt. Ganz nebenbei hat er auch noch einen kleinen Steinbutt mit bloßen Händen gefangen (!), also gab’s Pasta mit Jakobsmuscheln, Steinbutt und Garnelen.

Ich habe zugeschaut, wie er den Fisch ausgenommen und die Muscheln geöffnet hat, und ich glaube, es sind keine 20 Minuten vergangen vom Meer bis in die Pfanne. Kristian hatte eine herzhafte Sabayon vorbereitet, die er über die Pasta gegossen und dann mit dem Seafood getoppt hat. Es hat so frisch und lecker geschmeckt. Dazu ein Glas Sancerre – passte perfekt. So ein großartiges Abendessen. Ich kann’s immer noch kaum fassen, dass sie all diese Meeresdelikatessen direkt vor der Haustür haben. Ein schneller Tauchgang – und schon ist das Dinner gesichert.

Meine Mutter sammelt Muscheln, also war das Erste, was sie sagte, als ich ihr die Fotos schickte: „Bring mir welche mit!“ Ich habe sechs Schalen gründlich gewaschen und zum Trocknen auf die Terrasse gelegt. Am nächsten Tag hab ich sie natürlich vergessen. Sieht so aus, als müsste ich bald mal wieder hin 🙂

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